Les informations sur la pandémie du coronavirus font la une des journaux quotidiens. Des confinements programmés, des durcissements des mesures barrières et la recherche de nouveaux vaccins sont autant d’actions que mènent les communautés internationales pour éradiquer ce mal. En dehors des symptômes classiques que sont la toux sèche, la fatigue, la fièvre, les maux de gorge, les maux de tête, la diarrhée et bien d’autres encore, la communauté scientifique identifie d’autres symptômes.
Trois nouveaux symptômes du Covid-19 identifiés par les scientifiques
Les recherches menées en Espagne ont permis de décrypter des symptômes répétitifs chez plusieurs patients souffrant du coronavirus. Ces symptômes sont observés au niveau de la langue, des pieds et des mains.
Les symptômes classiques sont donc très loin d’être les seuls à être présent chez les personnes atteintes. C’est une étude scientifique réalisée en Espagne qui a finalement mis la lumière sur ces trois nouveaux symptômes. Ces recherches ont été réalisées sur 666 patients testés positifs au Covid-19 et âgés de 55.7 ans en moyenne. Les résultats ont montré qu’environ 30 % des patients ont exprimé des irrégularités au niveau de la langue. Ce qui se traduit par des gonflements, des tâches ou encore des émois de brûlure. Par ailleurs, environ 40 % des patients étudiés ont confié ressentir des sensations de brûlures, d’hypertrophie ou encore des inflammations. Enfin, l’apparition de boutons ou encore des allergies ont été observées chez les autres patients.
Avantages et limites présentés par les nouveaux symptômes du Covid-19 détectés
Ces symptômes peuvent aussi permettre d’identifier des personnes souffrantes du coronavirus et qui ne présentent aucun des symptômes classiques. Aussi, même si ces résultats ne nous fournissent pas de données claires sur les personnes asymptomatiques, elles pourraient nous servir d’une base sur laquelle rebondir en face de pareils patients du coronavirus.
En outre, l’étude a fait cas uniquement des personnes âgées, car elles sont les plus touchées par la pandémie. Ce qui ne nous clarifie pas sur l’existence ou non de ces mêmes symptômes chez les enfants qui constituent aussi une couche vulnérable.